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25 juillet jour de l’arbre à Chauprix

17 Juil

Bonjour à vous toutes et tous, le 25 juillet est jour de l’arbre à Chauprix.

Si l’image d’Épinal de ce végétal, est une large ramure qui dessine son nuage vert accrochant le ciel à la terre de ses puissantes racines qui allongent son tronc jusqu’à sa majestueuse ramure.
Ce n’est peut être pas un hasard si à tire d’ailes, au fil de leurs plumes, nos oiseaux écrivent leurs vies et décrivent la notre.
Ce que vous en pensez intéresse tout le monde, parlons en sous le chapiteau.

Et pour qui le bruissement des feuilles, agitées par le vent, libère la musique de ses instruments, posez vous et écoutez ce qui suit.
Marie Pierre, notes après notes, nous délivre Schumann.
La soirée se prolongera, n’oubliez pas vos lampes, tels ces merveilleux vers luisant, vous pourrez ainsi longer les haies sans vous y perdre.

L’arbre, sa vie, nos rêves

Certaines espèces avicoles endémiques se raréfient sous l’effet de la disparition ou des traumatismes de leurs milieux naturels.
Drainage des prairies humides-régulation des cours d’eau – modification des surfaces cultivées – méthodes d’exploitation mono culturale – utilisation produits phytosanitaires – étalement urbain – densification des réseaux de transport…
Comment contrebalancer positivement cette situation dans le cadre d’une activité domestique ou professionnelle ?
En considérant les effets positifs, induits par les activités de ces volatiles, dans nos propres actions.
Cela permet d’optimiser à la fois, les économies d’énergie, et l’équilibre de notre propre habitat.
Il s’agit donc de favoriser la participation des oiseaux à la régulation des insectes et à l’ensemencement de nombreuses plantes dont les arbres, arbustes, buissons, qui constituent un des éléments clés de leur existence.
La faune avicole constitue un auxiliariat majeur, et la protéger, avec les moyens dont nous disposons, nous assurerait des motifs de se réjouir de vivre en milieu rural.
Les jardiniers ont, dans ce sens, tout intérêt à préférer une luxuriante végétation de leur jardin à une pelouse bien coiffée, à privilégier des haies à baies aux monocultures de thuyas, lauriers fleurs, etc.
Les forestiers pourraient privilégier la diversité des essences, aux champs d’arbres de quelques espèces choisies uniquement en fonction des billes de bois.
Les agriculteurs seraient inspirés de considérer les arbres, non comme des obstacles aux passages des engins mais, comme ressource minérale et fournisseurs de biomasse, abri des auxiliaires prédateurs des parasites de cultures.
Cela offrirait aux oiseaux un environnement et une source d’alimentation.
En effet plus la flore des haies, des prairies, des forêts est variée, plus la récolte des fruits et baies est copieuse.
Cela stimulerait une abondante variété d’insectes qui participent à un meilleur équilibre alimentaire.
Cela dispenserait l’usage des produits chimiques qui empoisonnent leur nourriture et la nôtre.
L’alimentation diversifiée que les arbres fournissent aux oiseaux leur permet de se consacrer à la nidification.
L’habitat n’est pas lieu de vie mais source de vie, et la place de l’arbre est dans nos vies, sur la terre et dans nos rêves.

 

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